Titre : |
HISTOIRE DE LARGENTIÈRE : MONOGRAPHIES DES VILLES ET VILLAGES DE FRANCE |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Albin MAZON, Auteur |
Editeur : |
RES UNIVERSIS |
Année de publication : |
1990 |
Importance : |
590p. Textes, gravures. |
Format : |
14.3x20 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87760-480-2 |
Prix : |
60.98 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Art et patrimoine
|
Mots-clés : |
Origines guerres civiles Révolution persécutions chouannerie église château hôpital couvent des Cordeliers évêque catholique protestant. |
Résumé : |
En présentant à ses concitoyens cette Histoire de Largentière, l'auteur ne prétend pas avoir fait une œuvre académique, ni même une histoire parfaitement ordonnée et régulière, comme on en écrivait jadis. Son ambition a été simplement de leur donner un aperçu aussi exact que possible du passé de notre bonne ville, que le plus grand nombre ignorait certainement, et de leur fournir ainsi le moyen de comparer l'état politique et social d'autrefois avec celui d'aujourd'hui, afin qu'ils puissent juger par eux-mêmes, si, tous comptes faits, c'est-à-dire en tenant compte de l'adoucissement des mœurs et des progrès de la science, les institutions anciennes ne valaient pas les nouvelles, principalement au point de vue des libertés de l'individu et de la commune. |
HISTOIRE DE LARGENTIÈRE : MONOGRAPHIES DES VILLES ET VILLAGES DE FRANCE [texte imprimé] / Albin MAZON, Auteur . - [S.l.] : RES UNIVERSIS, 1990 . - 590p. Textes, gravures. ; 14.3x20. ISBN : 978-2-87760-480-2 : 60.98 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Art et patrimoine
|
Mots-clés : |
Origines guerres civiles Révolution persécutions chouannerie église château hôpital couvent des Cordeliers évêque catholique protestant. |
Résumé : |
En présentant à ses concitoyens cette Histoire de Largentière, l'auteur ne prétend pas avoir fait une œuvre académique, ni même une histoire parfaitement ordonnée et régulière, comme on en écrivait jadis. Son ambition a été simplement de leur donner un aperçu aussi exact que possible du passé de notre bonne ville, que le plus grand nombre ignorait certainement, et de leur fournir ainsi le moyen de comparer l'état politique et social d'autrefois avec celui d'aujourd'hui, afin qu'ils puissent juger par eux-mêmes, si, tous comptes faits, c'est-à-dire en tenant compte de l'adoucissement des mœurs et des progrès de la science, les institutions anciennes ne valaient pas les nouvelles, principalement au point de vue des libertés de l'individu et de la commune. |
| |